Friday, October 29, 2021

Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère) Karl Marlantes pdf francais

Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère)

par Karl Marlantes
Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère)


Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère) Karl Marlantes pdf francais -

Dire une guerre aussi controversée que celle du Vietnam n’est pas aisé : à s’en tenir aux « faits », on risque de tomber dans la répétition infi nie de scènes de batailles ou de corvées. Quant à faire de ce qui se résume à tuer l’ennemi un récit héroïque, c’est aplatir la réalité sous le grandiose.
Et la réalité de la Compagnie Bravo dirigée par le jeune lieutenant Mellas n’a rien d’excitant. Prendre la colline de Matterhorn et la fortifier pour résister à l’armée nord-vietnamienne, puis devoir l’abandonner pour exécuter une autre tâche, sans munitions et nourriture suffisantes, et devoir la réinvestir ensuite, telle est l’aventure absurde narrée dans ce roman que la critique américaine unanime met sur le même plan que Les Nus et les Morts, À l’Ouest, rien de nouveau et Catch-22.
Ce que vivent ces « gamins » noirs et blancs pour la première fois intégrés dans le même corps des marines est tout à la fois terrifiant, héroïque, cruel, vain, tendre, ridicule, absurde, désespérant et sublime. Qu’ils marchent dans une jungle infestée de tigres et de sangsues, s’enfoncent dans leurs trous de combat boueux ou, pris de racisme ou de folie meurtrière, commettent l’irréparable, ils fascinent le lecteur tant la rigueur du récit est sans faille.

« Chapitre après chapitre, bataille après bataille, Marlantes pousse le lecteur dans ce qui est peut-être le roman le plus profond et dévastateur à être jamais sorti sur la guerre du Vietnam. C’est moins un livre qu’un déploiement, et l’on n’en sort pas indemne. »
The New York Times

« Roman le plus sensationnel de l’année, Retour à Matterhorn de Karl Marlantes dit le combat de toute une vie contre les démons du souvenir, de la conscience et du deuil. Exceptionnel. »
The Observer

Rang parmi les ventes Amazon: #157527 dans eBooksPublié le: 2012-08-29Sorti le: 2012-08-29Format: Ebook KindlePrésentation de l'éditeurDire une guerre aussi controversée que celle du Vietnam n’est pas aisé : à s’en tenir aux « faits », on risque de tomber dans la répétition infi nie de scènes de batailles ou de corvées. Quant à faire de ce qui se résume à tuer l’ennemi un récit héroïque, c’est aplatir la réalité sous le grandiose.Et la réalité de la Compagnie Bravo dirigée par le jeune lieutenant Mellas n’a rien d’excitant. Prendre la colline de Matterhorn et la fortifier pour résister à l’armée nord-vietnamienne, puis devoir l’abandonner pour exécuter une autre tâche, sans munitions et nourriture suffisantes, et devoir la réinvestir ensuite, telle est l’aventure absurde narrée dans ce roman que la critique américaine unanime met sur le même plan que Les Nus et les Morts, À l’Ouest, rien de nouveau et Catch-22.Ce que vivent ces « gamins » noirs et blancs pour la première fois intégrés dans le même corps des marines est tout à la fois terrifiant, héroïque, cruel, vain, tendre, ridicule, absurde, désespérant et sublime. Qu’ils marchent dans une jungle infestée de tigres et de sangsues, s’enfoncent dans leurs trous de combat boueux ou, pris de racisme ou de folie meurtrière, commettent l’irréparable, ils fascinent le lecteur tant la rigueur du récit est sans faille.« Chapitre après chapitre, bataille après bataille, Marlantes pousse le lecteur dans ce qui est peut-être le roman le plus profond et dévastateur à être jamais sorti sur la guerre du Vietnam. C’est moins un livre qu’un déploiement, et l’on n’en sort pas indemne. »The New York Times« Roman le plus sensationnel de l’année, Retour à Matterhorn de Karl Marlantes dit le combat de toute une vie contre les démons du souvenir, de la conscience et du deuil. Exceptionnel. »The ObserverRevue de presse"Un récit imposant et désespéré sur les ravages de la guerre. Marlantes et son jeune lieutenant Mellas captivent le lecteur dans cette conquête du courage, qui est aussi le chant désespéré d'une Iliade meurtrière."Gilles Heuré, Télérama"Retour à Matterhorn apparaît comme un livre indispensable et incontournable."Paolo Bevilacqua, Alibi"L'homme n'est pas grand chose, mais il survit, par petits gestes infimes et contacts furtifs les uns aux autres. Le roman de guerre comme genre littéraire cherche cela ; et Karl Marlantes, à force d'arpenter la jungle, l'a trouvé."Alexis Jenni, Le Point"Une formidable leçon de vie, de courage et d'humilité."S.P., L'AlsacePrésentation de l'éditeurDire une guerre aussi controversée que celle du Vietnam n’est pas aisé : à s’en tenir aux « faits », on risque de tomber dans la répétition infi nie de scènes de batailles ou de corvées. Quant à faire de ce qui se résume à tuer l’ennemi un récit héroïque, c’est aplatir la réalité sous le grandiose.Et la réalité de la Compagnie Bravo dirigée par le jeune lieutenant Mellas n’a rien d’excitant. Prendre la colline de Matterhorn et la fortifier pour résister à l’armée nord-vietnamienne, puis devoir l’abandonner pour exécuter une autre tâche, sans munitions et nourriture suffisantes, et devoir la réinvestir ensuite, telle est l’aventure absurde narrée dans ce roman que la critique américaine unanime met sur le même plan que Les Nus et les Morts, À l’Ouest, rien de nouveau et Catch-22.Ce que vivent ces « gamins » noirs et blancs pour la première fois intégrés dans le même corps des marines est tout à la fois terrifiant, héroïque, cruel, vain, tendre, ridicule, absurde, désespérant et sublime. Qu’ils marchent dans une jungle infestée de tigres et de sangsues, s’enfoncent dans leurs trous de combat boueux ou, pris de racisme ou de folie meurtrière, commettent l’irréparable, ils fascinent le lecteur tant la rigueur du récit est sans faille.« Chapitre après chapitre, bataille après bataille, Marlantes pousse le lecteur dans ce qui est peut-être le roman le plus profond et dévastateur à être jamais sorti sur la guerre du Vietnam. C’est moins un livre qu’un déploiement, et l’on n’en sort pas indemne. »The New York Times« Roman le plus sensationnel de l’année, Retour à Matterhorn de Karl Marlantes dit le combat de toute une vie contre les démons du souvenir, de la conscience et du deuil. Exceptionnel. »The Observer

Détails de Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère)

Titre du livre : Retour à Matterhorn (Littérature Etrangère)

Auteur : Karl Marlantes

Date de sortie : 2012-08-29

Catégorie : Livres

Nom de fichier : retour-à-matterhorn-littérature-etrangère.pdf

Taille du fichier : 18.67 (La vitesse du serveur actuel est 24.78 Mbps


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8 internautes sur 8 ont trouvé ce commentaire utile.Très grand momentPar LudoRetour à Matterhorn est une plongée dans un enfer aux multiples facettes. Avec Mellas, jeune lieutenant qui semble beaucoup emprunter à l’expérience de Marlantes, nous nous retrouvons en 1969, à la frontière entre Laos et Nord-Vietnam. Malgré la réussite militaire US de la bataille du Têt qui a laminé le vietcong jamais l’Oncle Sam ne pourra gagner cette guerre. Impossible d’envahir le Nord ou le Laos, les militaires mènent une guerre pieds et poings liés par la politique. La guerre est donc perdue, les négociations de paix ont commencé mais on continue à se battre. L’état-major est obnubilé par le boby count alors on envoie les sections traquer le Viet.Retour à Matterhorn est un roman, en partie fictif, de guerre. Cette dernière est traitée sous toutes ses formes : la vie quotidienne, sa monotonie, son ennui. Les opérations de reconnaissance, les combats, terribles, la peur, les blessés, les mutilés, les morts. Mais le Vietnam est une guerre singulière : c’est une guerre de l’Amérique contre elle-même. C’est une guerre de pauvres, avec ses pauvres blancs, ses pauvres noirs, ses luttes entre le black power et le racisme sudiste. C’est une guerre que les militaires de rang ne peuvent gagner ; seuls restent aux officiers de carrière l’ambition de monter dans la hiérarchie, de glaner une médaille, de gagner une place à l’état-major. L’homme de troupe lui n’a rien d’autre que la perspective de terminer indemne son turn of duty. Physiquement, peut-être y arrivera-t-il. Mentalement, c’est impossible.Un à un les Gis tombent ; ici une balle, là une mine, là un tigre, là les moustiques, les fièvres, le suicide, l’alcool, la dope, la connerie d’ordres impossibles, la soif en pleine Mousson, la folie.Marlantes livre ici le livre d’une vie, gestation chaotique de 30 ans. Une fulgurance absolue, une œuvre vrai, inoubliable. J’ai du, parfois, refermer le livre pour sortir prendre l’air. Le cinéma nous a gâvé d’images terribles, de Stone à Coppola, de Kubrick à Cimino, de Hamburger Hill à l’Echelle de Jacob ; une série magistrale comme L’Enfer du Devoir a marqué le jeune téléspectateur que j’étais. Et bien toutes ces œuvres, aussi majeures soient-elles, ne sont rien comparées aux mots, aux phrases, au talent de Marlantes.La guerre est horrible, mais elle est un fait. Pour la faire, contrairement à l’amour, il suffit d’un être. Dans nos sociétés civilisées, selon les désirs de Clémenceau et sa fameuse supplique « La guerre est une affaire trop sérieuse pour être laissée aux militaires », ce sont les politiques qui envoient de jeunes hommes et femmes au carton. Mais, surtout, il ne faut pas la montrer ; La guerre, c’est sale. Marlantes, sans jugement, nous montre ces hommes, faibles, forts, terrifiés, certains découvrant l’ivresse de donner la mort, sans fard. Tout est là. A nous de faire avec. A nous de vivre avec sans oublier que eux, ils sont morts. Physiquement ou psychologiquement, ils sont tous morts. Pour le bien ou le mal, on s’en fout ; à la fin, c’est la nature qui gagne.

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